La création de cette Commission est le reflet d’une volonté affirmée, de la part du Club des Juristes, de participer à la réflexion juridique suscitée par l’actualité. Il ne s’agit pas de céder à un effet de mode plaçant la corruption internationale au centre de la vie politique et médiatique. Car les besoins dans ce domaine sont réels comme en attestent les récentes recommandations formulées par l’Organisation de Coopération et de Développement Économiques à l’égard de la France auxquelles des réponses devront être apportées dans un rapport intermédiaire attendu pour l’automne 2013. Les travaux de la Commission devraient donc se diriger vers une réflexion dichotomique dans laquelle bilan et perspectives seront les deux axes majeurs de réflexion. La Commission s’intéressera tant aux dispositifs de répression de la corruption internationale qu’aux politiques de prévention de ce phénomène.
Les rapports intitulés « Du renforcement contre la lutte contre la corruption internationale » et « On enhancing the fight against transnational bribery » sont disponibles ci-dessous